Quand le licenciement ne tient qu'à un (coup de) fil

Quand le licenciement ne tient qu'à un (coup de) fil

Respect des convenances ou respect du droit ? Prévenir par téléphone le salarié de son licenciement, le jour même de l’envoi de sa lettre, peut s’analyser en licenciement verbal dépourvu de cause réelle et sérieuse.

La cour d'appel de Reims a fait droit à la demande d'un salarié qui contestait son licenciement pour faute grave.Les juges du fond ont d'abord relevé que le salarié rapportait la preuve qu'il avait été informé verbalement de son (...)
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