Location de courte durée : de la la preuve d’un usage d’habitation du local

Location de courte durée : de la la preuve d’un usage d’habitation du local

En l'espèce, les éléments produits par la Ville de Paris ne permettaient pas d’établir que le local était à usage d’habitation au 1er janvier 1970 et que la preuve d’un usage d’habitation lors de l’acquisition par Mme X. de son appartement le 2 avril 1980 était inopérante.

La Ville de Paris assigne un propriétaire d'appartement en référé en paiement d'une amende civile pour avoir donné le local en location à une clientèle de passage pour des courtes durées. Le 24 octobre 2018, la cour d'appel de Paris rejette la demande de la Ville de Paris. Celle-ci se pourvoit en cassation en plaidant que le local doit être considéré comme étant à usage d'habitation, dès qu'il reçoit cette affectation dans l'acte de vente, datant du 2 (...)
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