Des concubins ont acquis indivisément, chacun pour moitié, un pavillon financé pour partie au moyen d’un prêt bancaire. Après leur séparation, le concubin a continué à vivre dans cette maison avec leur fils. En juin 2003, la concubine a assigné son conjoint en liquidation et partage de l’indivision ayant existé entre eux. La cour d’appel de Paris a limité la créance du concubin à l’égard de l’indivision, au titre des mensualités d’emprunt, aux (...)
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